​Paroles de Fête - oser le cadeau singulier 

Impétueux musicien, sans concession pour les airs au rabais,

Dan cultive l’absolu non négocié :

Tout près sa gratte, un jazz techno bien rythmé.

 

Étudiante diaphane, pour qui le droit est sans mystère,

Laetitia brave tous les imbus qui crânent ;

Dans son réduit elle surmonte toutes les galères.

 

Deux dans Paname, à quelques lieues plus pour longtemps.

Symbiose rêvée : ils y aspirent pour l’instant.

S’énamourer, sans crécelle, pour l’évidence qui scelle.

 

Des notes et des répètes, pour ne pas trop perdre la tête.

Les décrets ont fondu comme des mirages

Dès que la mélodie s’est faite hommage.

 

Deux beautés d’âme, vers Port-Royal, c’est enivrant,

Symbiose trouvée, loin des abîmes, l’exaltant,

Très amoureux, sans crécelle : une évidence qui scelle.

 

Beau jour, celui du partage d’un destin,

Deux pour doubler les projets divins,

Mythe inepte d’un quotidien lassant :

Aimer c’est se réjouir de chaque moment.

 

Oui, cette union sincère

Murit son choix d’une nouvelle ère :

Un nid ouaté pour une belle Naomi

Joyeusement couvée, elle s’épanouit.

 

Les doudous, les biberons,

Les premiers pas pour l’émotion,

Les larmes, les câlins, les soucis, les mictions

Transcendés par cette alliance qui tourne rond.

 

Trois belles âmes, à Rambouillet pour très longtemps,

Deux mariés, une Naomi, tout rayonnants

D’une volonté qui excelle, ce doux foyer étincelle.

 

Trois belles âmes, à Rambouillet pour très longtemps,

Deux mariés, une Naomi, tout rayonnants

D’une volonté qui excelle, ce doux foyer étincelle.

 

En hommage à « Manhattan – Kaboul » de Renaud